Activité d'intégration [PV Aria Russandol et Ran Murasaki]

Une lettre a été glissée dans votre livre de cours.

Citation :

Bonjour,
Vous devez retourner dans votre chambre pour 13h en raison d'un relooking prévu cet après-midi.

La directrice.

Pas très clair comme lettre, mais il ne faut pas contredire la directrice. Dans votre chambre, une enveloppe de trouve sur votre bureau. À l'intérieur, une autre lettre et un téléphone cellulaire. Voici le contenue de la lettre.

Citation :

Bonjour.
Interdiction de sortir de votre chambre avant d'avoir réussi la mission écrite plus loin dans ce message. Vous êtes surveillé.
Dans ce téléphone, il y a un numéro d'enregistré. Vous devrez appeler à ce numéro et discuter avec la personne qui vous répondra. Le but; découvrir ce qu'elle aime afin de lui créer un ensemble à partir de ce que vous possédez dans votre armoire. Pas besoin de se casser la tête avec la taille puisque l'ensemble n'a pas a être essayé par l'autre personne. Lorsque ce sera fait, vous allez pouvoir sortir pour montrer votre ensemble à l'autre personne. Mais attention. La conversation sera surveillée. Il est interdit de demander directement si la personne au bout du fil aime ou n'aime pas tel ou tel vêtement.

Soyez honnête et bonne chance.

Le ciel est bleu, le soleil brille, les oiseaux chantent. Une belle journée commence pour moi. Il est 12h45. Alors que je prend mes livres pour les amener dans ma nouvel chambre une enveloppe se retrouve au sol. Elle venais de tomber de l'un de mes manuels. Je la prend et je vois sur l'enveloppe mon nom. Elle m'est destiné ? Mais qui est-ce ? Bien trop curieuse pour attendre d'être dans ma chambre pour la lire à tête reposé. Je m'adosse contre le mur, je pose mes livres au sol. J'ouvre l'enveloppe délicatement. Et je lis ceci :

"Bonjour,
Vous devez retourner dans votre chambre pour 13h en raison d'un relooking prévu cet après-midi.

La directrice."

La directrice ? Pour un relooking ? Et bien. Ça promet. Mais c'est vrai ! J'ai entendus des élèves parlé d'une intervention comme ça. Qui devait se faire mercredi. Et ben on dirais que j'en fais parti. Bon puisque on me demande d'allé a ma chambre. J'étais déjà en direction. Je reprend mes livre avec un bras et l'envelloppe dans l'autres main. Je me dirige enfin devant ma chambre après mettre perdus à quelque reprise. C'est grand. Je suis enfin devant ma chambre, la chambre 6. Je prend la clé avec la même main qui tient l'enveloppe, enfonce la clé dans la serrure et la tourne. Après que le clapoti se fait entendre, j'enlève la clé et j'attrape la poignet de la porte pour l'ouvrire. Mes affaire était déjà là. Je dépose mes livres sur le bureau. Je jette un coup d'oeil a ma montre et je vois qu'il est presque 13h. Je suis à l'heure. Mais que vois-je ?

Une autres lettre et avec un téléphone cellulaire. J'ouvre la lettre qui se trouve sur mon bureau et je lis ceci :

"Bonjour.
Interdiction de sortir de votre chambre avant d'avoir réussi la mission écrite plus loin dans ce message. Vous êtes surveillé.
Dans ce téléphone, il y a un numéro d'enregistré. Vous devrez appeler à ce numéro et discuter avec la personne qui vous répondra. Le but; découvrir ce qu'elle aime afin de lui créer un ensemble à partir de ce que vous possédez dans votre armoire. Pas besoin de se casser la tête avec la taille puisque l'ensemble n'a pas a être essayé par l'autre personne. Lorsque ce sera fait, vous allez pouvoir sortir pour montrer votre ensemble à l'autre personne. Mais attention. La conversation sera surveillée. Il est interdit de demander directement si la personne au bout du fil aime ou n'aime pas tel ou tel vêtement.

Soyez honnête et bonne chance."

Mais c'est pas vrais ? Je commence a avoir peur. J'ai l'impression d'être dans un film d'espionnage. J'aime bien se genre de film mais quand ça arrive dans la réalité. C'est plus la même chose. Je prend le téléphone. Mince j'ai la main qui tremble. De peur ou d'excitation? Après tout je suis venus ici pour faire de nouvel rencontre et me faire de beau souvenir. Qu'est ce que j'ai a perdre? Mon cerveau me dit : "Rien" et mon coeur me dit :"Rien."

Je pris une grande bouffé d'aire et Je regarde le répertoire. Il y a bien un numéro dans ce répertoire. Je sélectionne le numéro qui m'est inconnue et appuis sur la touche au "téléphone vert". J'approche le téléphone a mon oreil. Ça sonne une fois ... Deux fois ... Trois fois... Puis enfin ça décroche. Je dis :

"Mochi mochi* ?"

(Hrp : Pour ma naration elle sera toujour à la première. Je précise juste )

(*Mochi mochi : c'est notre légendaire : "Allo ?" (C'est une petitenote au cas où quelqu'un d'autres le lise.)

Ran n'avait vraiment pas hâte à la journée d'intégration des nouveaux. La première fois qu'elle y avait participé, elle n'avait pas détester, mais avait trouvé cela un peu inutile. Maintenant qu'elle en était à sa troisième année à Color, elle n'avait vraiment pas envie d'y participer. Sauf qu'elle n'avait pas le choix. L'année d'avant, elle s'était ramassée dans un groupe d'une dizaine de personnes et avait du décorer le gymnase avec ce qu'ils avaient sous la main. Elle était donc resté assise pendant toute l'activité, mais elle se doutait bien qu'elle ne pourrait pas le faire cette année. Et elle avait bien raison, puisque l'enveloppe qu'elle trouva dans ses livres lui indiquait sa chambre comme lieu.

*Au moins, je vais avoir mon ordi.*

L'avant-midi se déroula comme les autres, Ran passa une partie de chaque période debout à côté de la fenêtre et l'autre dehors. Après avoir pris son repas sur le toit et y avoir pris un bain de soleil, la jeune femme se dirigea vers sa chambre. Il ne restait que quelques petites minutes avant 13h, mais elle se foutait d'arriver en retard. En ouvrant la porte de sa chambre, elle se dit qu'elle n'aurait peut-être pas du, mais bon. Il y avait un cellulaire sur son bureau qui sonnait. Elle fut tentée de ne pas répondre, puisque ce n'était pas le sien, mais se dit que c'était sûrement pour l'activité. Autre point positif, elle allait être seule. Elle décrocha donc.

"Mochi mochi* ?"

La voix était clairement celle d'une jeune fille, à laquelle Ran répondit avec un ton blasé en prenant l'enveloppe posée sur son bureau pour la lire.

-Mouais. C'est qui?

Ran laissa échappé un soupir de découragement en lisant la lettre. Elle n'avait pas envie du tout de discuter longtemps avec une petite fille pour lui créer un ensemble, surtout qu'elle n'aurait pas le droit de sortir de sa chambre et que la conversation allait être surveillée. La jeune femme attrapa son ordinateur portable et monta dans son lit pour s'installer confortablement. Tout en l'allumant, une idée venait de germer dans sa tête. Elle n'avait pas le droit de poser des questions directes, mais rien ne lui interdisait de raconter n'importe quoi. Bon, il y avait bien un "Soyez honnête", mais qu'avait-elle à perdre? Et puis, la directrice la connaissait assez bien pour savoir que peut-importe ce qu'on lui demandait de faire, elle allait trouver un moyen de rendre le tout amusant pour elle.

En entendant cette réponse de mon interlocuteur je sentis qu’elle se fichait bien de se qui se passais. Une pointe de colère se fit sentir en moi mais je ne perds pas pour autant mon sang froid. En assaillant de ne pas montré ma colère par ma voix je lui réponds :

« Je suis Aria Russandol, en troisième année. Et vous, vous-êtes ? »

Il est normal que je demande se genre d’information. Mais je craignais quand même ses réponses nonchalantes. Et si cette personne allait me dire tout et n’importe quoi ? Bref on verra se que l’avenir nous réserves. Je ne connais pas cette personne et j’ai bien l’intention de savoir qui elle est. Et je suis plutôt très têtue. Si elle pense que ça va être vite finis elle se met le doigt dans l’œil. Elle est peut-être plus jeune ou plus vielle que moi ? Quelle importance j’ai bien l’intention de faire ce que l’on me demande. Je suis là pour faire de nouvel connaissance et elle ne va pas passé au travers de mes filets ! Je le garantis ! À nous deux jeune fille à la voix nonchalante !

(HRP : C'est un peu court.)

« Je suis Aria Russandol, en troisième année. Et vous, vous-êtes ? »

Ran sourit en apprenant qu'il s'agissait d'une fille plus jeune qu'elle. Bon, c'était le cas de la majorité des filles de l'école, mais c'est toujours plus simple de mener quelqu'un par le bout du nez lorsque celle-ci nous doit du respect. L'avantage de vivre dans un pays comme le Japon. Quoi qu'en se fiant à son nom de famille, son interlocutrice n'avait pas l'air très japonaise, mais c'était un détail.

-Murasaki, ça va faire l'affaire. Je n'ai pas besoin de te donner mon prénom tout de suite, Aria-senpai.

Rigolant intérieurement, Ran commença à surfer sur le net. C'était tout à fait son genre de ne pas donner son prénom, avec comme excuse qu'il est plus respectueux d'appeler les inconnus par leur nom de famille, pour ensuite utiliser le prénom de la personne à qui elle parle. Bon, ça et le fait qu'elle avait volontairement utiliser le terme "senpai", alors que c'était elle l'ainée. En plus d'utiliser du tutoiement avec une parfaite inconnue, ça donne un mélange assez...mélangeant.

-Alors, Aria-senpai, quels sont tes passes-temps?

Parce que bien qu'elle n'ait pas l'intention de répondre sincèrement aux questions d'Aria, elle voulait tout de même avoir un minimum d'informations pour arriver à faire un ensemble qui lui plaise. Question de fierté sûrement.

« Aria-senpai » ? Ceci ne me plait pas du tout. De plus la personne qui me parle au téléphone avait l’aire bien plus vieille que ce qu’elle disait en l’appelant « senpai ». La voix de mon interlocutrice était plus tôt grave. Plus celles d’une femme mure. Mais un détail me revient. « Murasaki » Ce nom me dit quelque chose. Je crois que je l’ai déjà aperçu discuter avec la directrice de façon assez familière. Il fallait le dire mais cette fille est plutôt connue dans l’académie. Maintenant toute es pièces du puzzle correspondait. C’était cette « Murasaki. » Je déteste que l’on me prenne pour une imbécile sous prétexte que c’est obligatoire. Mais je voulais vraiment lui faire regretter de me prendre pour une imbécile. Et Là j’allais m’en donné à cœur joie.
Alors je lui dit :

« Et bien je ne fait rien. Je m’ennuis beaucoup dans cette endroit parce que mes parents m’ont obligé à aller ici. Alors je fais tout pour me faire virer. »

Je voulais la choqué. Mais je ne pense pas qu'elle va me croire. Murasaki-senpai ! Ne me prend pas pour une imbécile. Quand on s’approche trop du feu on se brûle ! Tu es plus vielle que moi mais sache que je vais te donner une bonne leçon. Mais la colère avait pris le dessus. Alors je ne lui laisse pas le temps de répondre et je lui dit :

« Murasaki-senpai. Vous savez, vous êtes plutôt connus dans l’académie. Votre voit et votre non chalance vous ont fait défaut. Vous pouvez dire ce que vous voulez que je n'ai pas à répondre ainsi. Que je ne vous connais pas. Alors les « Aria-senpai » tu peux te les garder parce que j’ai horreur que l’on me prenne pour une imbécile. Ran Murasaki-senpai ! Et si vous voulez que je réponde a votre question avec honnêteté il va falloir que vous aussi vous y métier du votre senpai. Parce que je peux jouer à ce jeu pendant des heures. Je ne suis pas là pour me faire des ennemis ni pour me faire prendre pour une imbécile Madame la menteuse. Alors vous allez être honnête pour une fois ? Ce n’est pas parce que vous avez pour amie la directrice que vous devez être supérieur aux autres. Je suis nouvelle ici. Et je n’ai pas l’intention de me faire marcher sur les pieds. Je suis désolé si mes paroles vous aurez blessé ou quoi que se soit que vous ressentez mais avouer que vous les avez mérité senpai. N’est ce pas ? Je veux juste me faire des amis et avoir une vie de lycéen comme les autres et être en harmonies avec ce qui m’entour. Vous pouvez le comprendre ? »

Voilà que maintenant tout était dit. J’étais en colère et je n’avais plus de souffle car mon discours était plutôt long. Mais il fallait mettre les pendules a l’heur. Les tu et les vous se mélanger parce que j’étais en colère de ne pas avoir la personne en face. C’était très frustrant. Je savais au moins une chose sur senpai. Elle était mesquine. Maintenant j’attends ce qu’elle va dire et qu’elle tourne septe fois sa langue avant de parler.

« Et bien je ne fait rien. Je m’ennuis beaucoup dans cette endroit parce que mes parents m’ont obligé à aller ici. Alors je fais tout pour me faire virer. »

Son ton avait changé, ce qui mit la jeune femme sur ses gardes. Elle prêta une oreille un peu plus attentive à son interlocutrice et heureusement pour elle, sinon, elle aurait pu faire une jolie petite gaffe et devoir arrêter son petit jeu facilement. Tout en écoutant le petit discours d'Aria, Ran pensait à une stratégie. En fait, elle l'avait déjà, y ayant pensé à l'avance au cas où la jeune fille ne la croirait pas. Alors peu après qu'Aria l'ait traitée de menteuse (ce qui ne l'affectait pas vraiment), Ran laissa échapper des sanglots, qui étaient en fait des rires camouflés. Et très bien camouflés, puisque c'était loin d'être la première fois qu'elle utilisait cette technique et qu'elle était encore plus efficace au téléphone qu'en vrai. Une fois qu'Aria eut fini de parler, la jeune femme laissa fit semblant de calmer ses sanglots pour parler d'une voix tremblante, comme si elle pleurait vraiment.

-A...Aria-senpai, je... c'est...Je ne suis pas "la" Ran Murasaki que tout le monde connait...C'est méchant de m'accuser ainsi sans preuves. Il y a d'autres Murasaki dans l'école, Aria-senpai. Je suis désoler si j'ai pu paraitre trop familière, j'étais juste trop excitée à l'idée de faire l'activité, parce que c'est ma première année à l'école. Et si je ne vous ai pas donner mon prénom, et bien, c'est...c'est parce que...je...je ne l'aime pas, j'en ai un peu honte.

Quelques sanglots dispersés par-ci, par-là dans ses paroles, un reniflement une fois de temps en temps et une respiration saccadée. Et pour éviter de se faire découvrir, Ran avait arrêter de pianoter sur son clavier pour éviter qu'Aria l'entende. Et elle pensait déjà à tout ce qu'elle pourrait faire si son petit plan ne marchait pas, même si elle était certaine que ça allait passé, au moins pour quelques minutes, parce que son jeu était parfait (enfin, selon elle, mais avec le nombre de personnes qu'elle avait fait chanter en leur faisant croire qu'elle pleurait vraiment, elle était très confiante et avec raison).

Ce gros mensonge me mis encore plus en colère. Elle me prend vraimant pour une imbécile. Comment puis-je penser ça ? Et bien tout d'un coup pendant que madame parlait il y a quelque chose qui c'est arrêter. Puis je me suis rappelé de quel bruit il s'agissait, des tapotements de touche de clavier. Si elle s'est arrêter c'est que senpai commence à devenir méfiante. Mais elle continue à faire son petit jeu. En ayant la voix comme si elle pleurer mais en faite elle riais. C'était fin mais on entendais quand même le rire. Je reprend le bout de papier pour le relire. Puis je relis cette phrase:

"Soyez honnête"

Honnête ? Chez elle c'est un option. Mais bon puis que c'est ainsi on va jouer à ce jeu la. Mais elle m'irriter vraimant. Alors j'aquièce et je lui dit :

"Mais bien sur et le fait aussis que tu es arrêtée de taper sur les touches de ton clavier d'ordinateur ta trahit. De plus ces larmes qui ressemblent à un rire ne sont franchement pas crédible du moin tu peut faire ça avec n'importe qui mais ça ne va pas marcher avec moi senpai. C'est éceurant et honteux de votre part. Et on appel ça un senpai mais où va le monde si il n'y a pas un minimum de sérieux. Vous voulez vous moquer de moi ? Et ben vous savez quoi ? Vous avez gagner. Je viens juste d'arriver et déjà on se moque de moi et on me prend pour une imbécile. Vous êtes vraimant la femme de la pire espèce qui puisse exister dans ce monde. Sur ce Je vous laisse senpai. Et je vous laisse la joie d'expliquer tous ça à la directrice."

Et je racroche sur ces mots. Je balance le téléphone sur mon lit avec lacitude. Si il se casse c'est pas grave. De toute façon cette évènement mécoeur. J'étais pourtan bien contente de faire une nouvelle rencontre mais bon puisque c'est ainsi alors qui l'en soit ainsi. Après tout on ne peut pas transformer une batard en un chien de concours. Je n'ai pas envit de sortir de ma chambre. Donc ça me fait une pière deux coup. Je me décide à ranger mes bouquins dans mon placard. Je m'assois sur ma chaise confortablement et j'allume mon ordinateur.

"Que ce pase-t-il en France en ce moment tient ?"